200-249 g
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La New Balance FuelCell RC Elite est une excellente chaussure de running avec lame en carbone qui offre confort et polyvalence.
★★★★★
Voir plus +Après la FuelCell TC — première chaussure de New Balance à être équipée d’une lame en carbone — voici la FuelCell RC Elite, une chaussure dont les mots d’ordre sont confort, polyvalence et accessibilité.
Elle propose une semelle épaisse avec 35 mm sous le talon et 25 mm sous l'avant-pied. La mousse FuelCell donne un amorti plutôt doux avec une pointe de fermeté sous le talon. On retrouve ainsi une mousse très similaire à celle de l’Adidas Adios Pro. Cela donne un bon confort mais les testeurs ont trouvé le rebond finalement modéré. La lame de carbone — discrète sous le pied — fait son travail et contribue à fluidifier la foulée mais pas autant que sur d’autres modèles similaires (au hasard l’AlphaFly de Nike). Ainsi, la configuration se rapproche un peu plus d'une chaussure traditionnelle, ce qui peut en faire une option intéressante pour les coureurs à la recherche d'une chaussure carbone plus accessible, plus confortable.
Ensuite, le mesh est doux et relativement épais pour une chaussure de course. Cela renforce l’impression de confort générale. La chaussure taille fidèlement à la pointure annoncée mais le maintien est un peu relâché au niveau du milieu du pied selon plusieurs coureurs. Ils s’inquiètent que celui-ci puisse se révéler insuffisamment strict pour la compétition comme le marathon. Pour le reste, les orteils ont de l’espace et le contrefort cale bien le pied dans la chaussure. Le design est également joli avec un profil effilé et des couleurs fluorescentes criardes, même si cela dépend bien sûr des goûts.
Enfin, la semelle extérieure Dynaride avec ses petits crampons triangulaires en caoutchouc donne une bonne traction et semble résistante — les testeurs n’ont pas noté de traces d’usure après plusieurs entraînements. De plus, les crampons remontent sur la pointe de la chaussure pour former un pare-pierre qui protège le pied et rend la chaussure plus solide.
En résumé, la FuelCell TC est une très bonne chaussure de running avec lame en carbone qui fait le pari d'une configuration douce et flexible. Cela lui permet de concilier performance et confort pour la rendre plus polyvalente. Qu'on ne s'y trompe pas : c'est une chaussure taillée pour le marathon mais qui est également très bien adaptée pour les entraînements quotidiens vigoureux.
Elle propose une semelle épaisse avec 35 mm sous le talon et 25 mm sous l'avant-pied. La mousse FuelCell donne un amorti plutôt doux avec une pointe de fermeté sous le talon. On retrouve ainsi une mousse très similaire à celle de l’Adidas Adios Pro. Cela donne un bon confort mais les testeurs ont trouvé le rebond finalement modéré. La lame de carbone — discrète sous le pied — fait son travail et contribue à fluidifier la foulée mais pas autant que sur d’autres modèles similaires (au hasard l’AlphaFly de Nike). Ainsi, la configuration se rapproche un peu plus d'une chaussure traditionnelle, ce qui peut en faire une option intéressante pour les coureurs à la recherche d'une chaussure carbone plus accessible, plus confortable.
Ensuite, le mesh est doux et relativement épais pour une chaussure de course. Cela renforce l’impression de confort générale. La chaussure taille fidèlement à la pointure annoncée mais le maintien est un peu relâché au niveau du milieu du pied selon plusieurs coureurs. Ils s’inquiètent que celui-ci puisse se révéler insuffisamment strict pour la compétition comme le marathon. Pour le reste, les orteils ont de l’espace et le contrefort cale bien le pied dans la chaussure. Le design est également joli avec un profil effilé et des couleurs fluorescentes criardes, même si cela dépend bien sûr des goûts.
Enfin, la semelle extérieure Dynaride avec ses petits crampons triangulaires en caoutchouc donne une bonne traction et semble résistante — les testeurs n’ont pas noté de traces d’usure après plusieurs entraînements. De plus, les crampons remontent sur la pointe de la chaussure pour former un pare-pierre qui protège le pied et rend la chaussure plus solide.
En résumé, la FuelCell TC est une très bonne chaussure de running avec lame en carbone qui fait le pari d'une configuration douce et flexible. Cela lui permet de concilier performance et confort pour la rendre plus polyvalente. Qu'on ne s'y trompe pas : c'est une chaussure taillée pour le marathon mais qui est également très bien adaptée pour les entraînements quotidiens vigoureux.
POUR:
- Grand confort
- Amorti souple très agréable
- Lame carbone discrète et qui offre un bon dynamisme
- Empeigne ample et souple
- Bonne polyvalence qui la rend accessible et adaptée à la fois à la compétition et à l'entraînement
CONTRE:
- Empeigne un peu trop relâchée au niveau du médio-pied
- Peut-être pas aussi "explosive" que ses concurrentes directes
L'Adidas Adizero Adios Pro est une excellente chaussure de running avec une semelle maximaliste et plusieurs lames en carbone pour courir vite et longtemps confortablement.
★★★★★
Voir plus +La marque allemande frappe un grand coup en cette rentrée 2020 avec l'Adidas Adizero Adios Pro, sa deuxième chaussure à être équipée d'une lame de propulsion en carbone. Comme ses concurrentes directes comme la Nike Alphafly ou la Brooks Hyperion Elite 2, l'Adios Pro affiche une configuration résolument maximaliste pour pouvoir courir longtemps et vite confortablement.
Quand on vous disait que la chaussure est équipée d'une lame en carbone, c'était pour simplifier. En réalité, ce modèle comporte non pas une mais six lames ! En effet, tout d'abord, on en trouve une en nylon infusé de carbone sous le talon pour améliorer la stabilité et compenser le profil étroit de la chaussure à l'arrière. Ensuite, il y a cinq "EnergyRods" en TPU infusé de carbone qui supportent les orteils pour promouvoir une foulée fluide et dynamique. Ces lames de propulsion sont entourées de la nouvelle mousse Lightstrike Pro qui est très souple. Le tout donne une semelle épaisse avec 39 mm de hauteur sous le talon et 31 mm sous l'avant-pied. Les testeurs ont trouvé le résultat époustouflant en termes d'efficacité et de sensations de courses. En effet, ils notent des "transitions fluides" du talon aux orteils ainsi qu'un équilibre parfait entre douceur et rebond. Ainsi, le ressenti est vraiment moelleux et souple avec la mousse Lightstrike Pro mais les lames en carbone donnent une bonne structure et une impulsion naturelle lors de la course. Le seul bémol concerne le poids de la mousse : celle-ci est en effet plus lourde que celle de ses concurrentes (comme ZoomX de Nike). La chaussure est loin d'être lourde mais elle n'est pas aussi légère que ce que l'on pourrait attendre d'une chaussure de ce type.
L'Adidas Adizero Adios Pro brille également grâce à son empeigne Celermesh qui offre un maintien du pied supérieur grâce à sa texture unique. De plus, elle assure une très bonne ventilation tout au long de la course et laisse de l'espace aux orteils à l'avant sans que cela ne réduise le maintien. La seule critique que nous avons vu reproche à la partie au niveau du talon d'irriter le tendon d'Achille mais il se peut que ce ne soit qu'un incident isolé.
Enfin, la semelle extérieure est étonnamment lisse avec un caoutchouc résistant mais sans relief. Rassurez-vous cependant, les testeurs n'ont pas trouvé que cette configuration diminuait la durabilité ou l'adhérence, bien au contraire !
En résumé, l'Adidas Adizero Adios Pro est une excellente chaussure de running pour la compétition qui propose une configuration originale et efficace avec notamment les lames en carbone EnergyRods sous les orteils. Le confort est au rendez-vous et l'amorti est absolument spectaculaire à en croire les coureurs qui ont testé la chaussure.
Quand on vous disait que la chaussure est équipée d'une lame en carbone, c'était pour simplifier. En réalité, ce modèle comporte non pas une mais six lames ! En effet, tout d'abord, on en trouve une en nylon infusé de carbone sous le talon pour améliorer la stabilité et compenser le profil étroit de la chaussure à l'arrière. Ensuite, il y a cinq "EnergyRods" en TPU infusé de carbone qui supportent les orteils pour promouvoir une foulée fluide et dynamique. Ces lames de propulsion sont entourées de la nouvelle mousse Lightstrike Pro qui est très souple. Le tout donne une semelle épaisse avec 39 mm de hauteur sous le talon et 31 mm sous l'avant-pied. Les testeurs ont trouvé le résultat époustouflant en termes d'efficacité et de sensations de courses. En effet, ils notent des "transitions fluides" du talon aux orteils ainsi qu'un équilibre parfait entre douceur et rebond. Ainsi, le ressenti est vraiment moelleux et souple avec la mousse Lightstrike Pro mais les lames en carbone donnent une bonne structure et une impulsion naturelle lors de la course. Le seul bémol concerne le poids de la mousse : celle-ci est en effet plus lourde que celle de ses concurrentes (comme ZoomX de Nike). La chaussure est loin d'être lourde mais elle n'est pas aussi légère que ce que l'on pourrait attendre d'une chaussure de ce type.
L'Adidas Adizero Adios Pro brille également grâce à son empeigne Celermesh qui offre un maintien du pied supérieur grâce à sa texture unique. De plus, elle assure une très bonne ventilation tout au long de la course et laisse de l'espace aux orteils à l'avant sans que cela ne réduise le maintien. La seule critique que nous avons vu reproche à la partie au niveau du talon d'irriter le tendon d'Achille mais il se peut que ce ne soit qu'un incident isolé.
Enfin, la semelle extérieure est étonnamment lisse avec un caoutchouc résistant mais sans relief. Rassurez-vous cependant, les testeurs n'ont pas trouvé que cette configuration diminuait la durabilité ou l'adhérence, bien au contraire !
En résumé, l'Adidas Adizero Adios Pro est une excellente chaussure de running pour la compétition qui propose une configuration originale et efficace avec notamment les lames en carbone EnergyRods sous les orteils. Le confort est au rendez-vous et l'amorti est absolument spectaculaire à en croire les coureurs qui ont testé la chaussure.
POUR:
- Grand confort général
- Amorti impressionnant qui allie retour d'énergie et douceur
- Mesh bien aéré qui offre un maintien précis tout en étant ample au niveau des orteils
- EnergyRods (tiges en TPU/carbone) efficaces sous l'avant-pied
- Design très joli
CONTRE:
- La plateforme étroite sous le talon surprend au début même si la stabilité est convenable
- Chaussure légère mais plus lourde que ses concurrentes directes
La Saucony Endorphin Pro est une très bonne chaussure légère avec lame en carbone pour un amorti confortable et réactif.
★★★★★
Voir plus + 220,00 €
Saucony se lance dans l'arène des chaussures équipées d'une lame en carbone avec l'Endorphin Pro. Il s'agit d'une chaussure légère (221 grammes pour les hommes, 190 grammes pour les femmes) avec une semelle très épaisse (35 mm sous le talon). Elle propose une toute nouvelle technologie de cushioning créée par Saucony : PWRRUN PB. Celle-ci se traduit par des granules en Pebax collés les uns aux autres avec une texture qui n'est pas sans rappeler Boost d'Adidas. À l'intérieur, la lame de propulsion en carbone a pour but de dynamiser la foulée en facilitant un rebond efficace. Alors qu'en est-il vraiment ? Déjà, ce qui a surpris d'emblée les testeurs est la fermeté de l'amorti malgré l'épaisseur de la semelle. Cela est consistant avec le profil plutôt rigide de la chaussure. Ils notent que l'amorti est très dynamique sans pour autant offrir l'effet "trampoline" de la Nike ZoomX Vaporfly NEXT%. Cette configuration a l'avantage de donner des sensations de course plus stables et plus naturelles avec un bon ressenti du sol. Il est possible que cela ne donne pas d'aussi bonnes performances qu'avec la Nike Vaporfly – seul le temps le dira – mais dans l'ensemble l'approche de Saucony est convaincante et originale. En ce qui concerne l'empeigne, on trouve un mesh inextensible qui assure un maintien du pied strict pour plus de sûreté lorsque vous allez vite. Les coureurs ont été impressionné par l’excellente aération qu’elle procure au pied lors de l’effort. Notons cependant que la chaussure a un profil effilé et qu'elle peut donc se révéler un peu étroite si vous avez les pieds larges. Enfin, le caoutchouc carbone de la semelle extérieure assure une bonne durabilité et une traction efficace sur les surfaces urbaines. En résumé, la Saucony Endorphin Pro est une très bonne chaussure de route à lame en carbone qui s'impose d'ores et déjà comme un modèle incontournable.
POUR:
- Grand confort
- Amorti efficace et dynamique
- Lame en carbone qui offre une bonne réactivité tout en conservant une foulée naturelle
- Empeigne souple bien aérée qui garantit un maintien sûr du pied, idéal pour la compétition
- Poids léger
CONTRE:
- Plateforme rigide dans l'ensemble ce qui risque de ne pas convenir à tous les coureurs
- Chaussure un peu étroite pour les coureurs qui ont des pieds larges
Première chaussure de la marque à être équipée d'une lame en carbone, l'Adidas Adizero Pro est un très bon modèle confortable et solide pour aller vite.
★★★★★
Voir plus + 128,74 €
Il aura fallu un peu de temps à Adidas (comme aux autres marques, d’ailleurs) pour répondre à Nike et ses chaussures à lame de propulsion en carbone qui ont véritablement bouleversé le monde du running en introduisant un atout imparable. Une technologie capable, preuve à l’appui, d’améliorer les performances de l’athlète en favorisant une meilleure propulsion. La réponse d’Adidas s’appelle l’Adizero Pro et force est de constater que l’attente en valait la peine. Il s’agit d’une chaussure plutôt légère tout en étant un peu plus lourde que ses concurrentes directes avec 235 g pour les hommes et 218 g pour les femmes. À première vue, la chaussure ressemble beaucoup à l’Adizero Adios 5 mais en beaucoup plus affinée. La configuration de l’amorti est très similaire avec les mousses Boost et Lightstrike. Ce qui la différencie est son arme secrète : Carbitex, une plaque de propulsion en carbone. Celle-ci est en forme de cuillère et relativement souple par rapport à celles de ses concurrentes (comme la Nike ZoomX Vaporfly NEXT% ou la Saucony Endorphin Pro). Cela permet une plus grande amplitude de mouvement, notamment au niveau de l’avant-pied, pour une foulée plus dynamique lors de la poussée. Les testeurs ont été impressionné par l’efficacité de cette configuration. D’après eux, la chaussure excelle sur toutes les distances du moment que le rythme est soutenu en facilitant une foulée plus efficace. De plus, la semelle affiche une épaisseur généreuse tout en étant relativement ferme, ce qui donne une meilleure stabilité. Ensuite, l’empeigne Celermesh en une pièce est élégante et très confortable. Elle reprend la formule de l’Adizero Adios mais en plus fine. Le maintien est bien ajusté tout en laissant de l’espace aux orteils. Enfin, notons l’efficacité de la semelle extérieure. C’est un élément qui passe un peu inaperçu sur les chaussures de route (contrairement aux chaussures de trail) mais il faut souligner le beau travail d’Adidas ici. En effet, les caoutchoucs Continental sous l’avant-pied et Adiwear sous le talon permettent de concilier adhérence et durabilité. De plus, les encoches Quickstrike DSP permettent une meilleure traction sur les surfaces plus glissantes comme les pistes d’athlétisme. Le résultat est impressionnant et devrait permettre de garder l’Adizero Pro plus longtemps qu’une chaussure de compétition avec lame en carbone traditionnelle. En résumé, l'Adidas Adizero Pro est une très bonne chaussure de running avec lame en carbone pour la vitesse. Sa configuration à la fois bien amortie et robuste la rend adaptée à tous les types des courses et d'entraînements – à condition d'aller vite.
POUR:
- Grand confort
- Amorti ferme, dynamique et stable
- Lame en carbone Carbitex efficace pour faciliter une meilleur propulsion lorsque le rythme s'accélère
- Chaussure robuste pour un modèle de compétition de ce type
- Maintien du pied discret et efficace
CONTRE:
- Chaussure destinée avant tout à la vitesse et donc pas très adaptée pour les allures lentes (e.g. entraînement quotidien tranquille, session de récupération)
- Poids un peu élevé pour une chaussure de ce type (la Vaporfly Next% de Nike fait moins de 200 g en comparaison)
Excellente chaussure de route légère à l'amorti généreux et confortable faite pour la vitesse et la longue distance.
★★★★★
Voir plus +La Hoka One One Carbon X se présente comme la réponse d'Hoka à Nike et sa gamme de chaussures Fly (e.g. Nike Vaporfly 4% Flyknit) faites pour la vitesse sur longue distance. Ainsi, La Carbon X est une chaussure de route légère (246 grammes et 204 grammes respectivement pour les hommes et femmes). Fidèle à l'esprit Hoka, elle affiche une semelle épaisse et souple avec une inclinaison entre le talon et les orteils de 5 mm. Sa principale innovation est sa plaque en carbone. Celle-ci a pour but d'insuffler du dynamisme à la chaussure grâce à un mouvement de bascule naturel. Le résultat est une course réactive et énergique, en particulier après quelques kilomètres lorsque la vitesse s'accélère et que le coureur monte en puissance. Certains athlètes qui ont essayé la Carbon X se plaignent d'une certaine rigidité au début. Néanmoins, ils indiquent que celle-ci s'estompe au fur et a mesure des séances. L'empeigne est egalement très réussie. Légère, fine (sans renforts) et bien aérée, elle offre un maintien du pied très agréable. Elle conviendra particulièrement aux coureurs qui préfèrent avoir de l'espace. Ceux préférant un maintien plus stricte du pied pourraient être déçus. En résumé, avec la Carbon X, Hoka One One relève le défi posé par Nike avec son excellente Vaporfly. Ces deux chaussures restent néanmoins très différentes (ne serait-ce qu'au niveau du drop). Choisir l'une par rapport à l'autre est donc une décision avant tout personnelle qui doit être basée sur son expérience et ses préférences.
POUR:
- Grand confort
- Amorti à la fois élevé et dynamique
- Poids relativement léger
- Empeigne fine et souple très agréable
- Design novateur qui rivalise avec Nike
CONTRE:
- Chaussure un peu rigide d'après quelques coureurs
- Prix élevé pour une durabilité standard
- Empeigne qui peut se révéler un peu trop ample pour certains coureurs
Gros buzz de 2019, la Hoka One One Rincon est une excellente chaussure de route maximaliste, ultra-légère et polyvalente à la hauteur des attentes !
★★★★★
Voir plus +Voici la toute nouvelle chaussure Hoka One One qui fait beaucoup parler d'elle : la Rincon. Si elle suscite autant d'excitation c'est avant tout qu'elle rappelle les débuts de son illustre aînée, la Clifton qui a beaucoup évolué depuis. Ainsi, elle s'affiche comme une chaussure ultra-légère et confortable avec un amorti généreux et souple. Avec 32 mm sous le talon, c'est une chaussure de route résolument maximaliste. Cependant, la semelle est douce sans être molle pour des sensations de courses optimales pleines de dynamisme. Les coureurs qui l'ont essayée s'accordent sur le fait que c'est une chaussure très polyvalente capable d'aborder tous les types d'entraînements et distances. Elle saura ainsi convenir aussi bien aux sessions récupération qu'aux sorties axées sur la vitesse. Au niveau de l'empeigne, on trouve une configuration simple et efficace : un mesh très fin, flexible et bien aéré qui maintient le pied agréablement. Enfin, on a déjà mentionné le poids ultra-léger de la Rincon : avec 210 grammes pour les hommes et 179 grammes pour les femmes, la Rincon d'Hoka One One rivalise avec les prouesses technologiques de Nike sur ses modèles dernier-cri comme la Nike Vaporfly 4% Flyknit. En résumé, la Hoka One One Rincon est une excellente chaussure de route maximaliste à la hauteur du buzz. Un modèle à ne pas rater en 2019 !
POUR:
- Grand confort
- Chaussure ultra-légère
- Empeigne fine et flexible qui laisse bien le pied respirer
- Amorti à la fois généreux et réactif
- Excellente polyvalence
CONTRE:
- Plusieurs coureurs émettent des doutes sur la durabilité en raison de la configuration de la semelle qui expose la partie intermédiaire fragile par définition car composée de mousse
La Saucony Endorphin Speed est une très bonne chaussure de running faite pour la vitesse avec sa lame de propulsion en nylon.
★★★★★
Voir plus + 179,90 €
L'Endorphin Speed est le troisième modèle de la nouvelle collection très réussie de Saucony lancée en 2020. C'est une chaussure qui, comme son nom l'indique, est avant tout destinée à la vitesse comme, par exemple, les courses et les entraînements tempo. Elle propose une semelle épaisse (33 mm sous le talon, 25 mm sous l'avant-pied) équipée de la mousse PWRRUN PB et d'une lame de propulsion en nylon en forme de S qui va du médio-pied aux orteils. En outre, la technologie Speedroll (qui équipe les trois modèles Endorphin) permet une transition fluide et agréable tout au long de la foulée. Les testeurs ont trouvé l'amorti très impressionnant à condition d'avoir un bon rythme. Ainsi, même si la Speed et la Pro font à peu près le même poids, la Speed est plus spécialisée sur la vitesse tandis que la Pro offre une plus grande polyvalence. D'autre part, plusieurs coureurs ont trouvé l'arrière de la chaussure très ferme, notamment lors des premières sorties (tout en notant que cela s'améliorait avec le temps). Ensuite, c'est un sans faute pour l'empeigne (comme sur les autres modèles Endorphin) grâce à son grand confort et sa nature respirante qui permet un maintien à la fois sûr et discret du pied. Enfin, le caoutchouc durable qui recouvre la semelle extérieure offre une bonne adhérence et protège efficacement la chaussure de l'usure. En résumé, la Saucony Endorphin Speed est une très bonne chaussure de running qui s'impose avec son amorti confortable et vif pour aller vite, même si sa fermeté peut déconcerter au premier abord.
POUR:
- Grand confort
- Amorti dynamique
- Empeigne impeccable
- Chaussure légère
- Lame en nylon discrète sous le pied
CONTRE:
- Moins polyvalente que l'Endorphin Pro
- Amorti qui peut être un peu ferme en fonction des préférences
La Hoka Carbon X 2 est une très bonne chaussure de running avec lame en carbone qui propose un amorti ferme et fluide.
★★★★★
Voir plus + 180,00 €
La Hoka One One Carbon X était la première chaussure de la marque à afficher une lame en fibre de carbone. Un an après, Hoka persiste et signe avec ce modèle résolument ferme malgré quelques signes d’assouplissement.
Tout d’abord, il faut remettre la Carbon X 2 dans le contexte de 2020. Après la ruée vers les chaussures carbones en 2018/2019, le stade de la nouveauté est passé. Nous avons désormais l’embarras du choix avec chaque grande marque proposant au minimum un voire deux modèles avec lame en carbone. À ce niveau, le poids de la Carbon X 2 se situe dans la fourchette haute avec 239 g (modèle homme). À titre de comparaison, l’Adidas Adios Pro pèse 224 g et la Nike Alphafly 229 g malgré leurs semelles de près de 4 cm d’épaisseur.
La Hoka Carbon X 2 propose une semelle plus fine qu’auparavant avec 32 mm pour les hommes et 30 mm pour les femmes sous le talon et un drop de 5 mm. L’amorti de la mousse CMEVA est plus doux mais reste ferme dans l’ensemble. La lame en fibre de carbone, très rigide sur le premier modèle, est également un chouia plus flexible, ce qui donne un effet de propulsion fluide mais moins prononcé qu’auparavant, selon les testeurs. De plus, l’amorti plus moelleux atténue le ressenti du sol. Ce léger changement de configuration permet de gagner en confort et en polyvalence pour pouvoir courir plus longtemps.
Ensuite, l’empeigne reste très similaire à celle du premier modèle mais avec un nouveau talon élancé, montant, en forme de flamme. Celui-ci a été bien reçu dans l’ensemble, notamment en raison de son rembourrage qui cale le talon confortablement dans la chaussure. De plus, le mesh est un peu plus épais ce qui le rend plus résistant qu’auparavant. Le résultat est un maintien un poil plus serré. Les testeurs ont salué cette amélioration, notant que cela rend la chaussure plus apte à la compétition. Enfin, le talon “Swallow Tail” large et riche en mousse pour plus de stabilité, conçu pour les coureurs qui attaquent du talon (la majorité), permet un amorti plus confortable au moment où le pied entre en contact avec le sol. Cependant, si vous attaquez de l’avant-pied ou du médio-pied, le bénéfice risque d’être minime et pourrait même vous alourdir pour rien.
En ce qui concerne la durabilité, la mousse caoutchoutée n’est franchement pas idéale pour avaler les kilomètres. Ainsi, certains utilisateurs ont remarqué des traces d’usures après environ 250 km, ce qui est peu si l’on prend en compte le prix de la chaussure. Malheureusement, c’est souvent le cas avec les chaussures de compétition avec lame en carbone.
En résumé, la Hoka Carbon X 2 reste fidèle au premier modèle avec un amorti ferme et dynamique qui se prête bien aux longues distances. Cependant, sa formule séduit sans impressionner et sa durabilité limite sa polyvalence. Fans d’Hoka, foncez ! Pour les autres, prenez le temps de comparer avec la concurrence pour choisir ce qui vous correspond le mieux.
Tout d’abord, il faut remettre la Carbon X 2 dans le contexte de 2020. Après la ruée vers les chaussures carbones en 2018/2019, le stade de la nouveauté est passé. Nous avons désormais l’embarras du choix avec chaque grande marque proposant au minimum un voire deux modèles avec lame en carbone. À ce niveau, le poids de la Carbon X 2 se situe dans la fourchette haute avec 239 g (modèle homme). À titre de comparaison, l’Adidas Adios Pro pèse 224 g et la Nike Alphafly 229 g malgré leurs semelles de près de 4 cm d’épaisseur.
La Hoka Carbon X 2 propose une semelle plus fine qu’auparavant avec 32 mm pour les hommes et 30 mm pour les femmes sous le talon et un drop de 5 mm. L’amorti de la mousse CMEVA est plus doux mais reste ferme dans l’ensemble. La lame en fibre de carbone, très rigide sur le premier modèle, est également un chouia plus flexible, ce qui donne un effet de propulsion fluide mais moins prononcé qu’auparavant, selon les testeurs. De plus, l’amorti plus moelleux atténue le ressenti du sol. Ce léger changement de configuration permet de gagner en confort et en polyvalence pour pouvoir courir plus longtemps.
Ensuite, l’empeigne reste très similaire à celle du premier modèle mais avec un nouveau talon élancé, montant, en forme de flamme. Celui-ci a été bien reçu dans l’ensemble, notamment en raison de son rembourrage qui cale le talon confortablement dans la chaussure. De plus, le mesh est un peu plus épais ce qui le rend plus résistant qu’auparavant. Le résultat est un maintien un poil plus serré. Les testeurs ont salué cette amélioration, notant que cela rend la chaussure plus apte à la compétition. Enfin, le talon “Swallow Tail” large et riche en mousse pour plus de stabilité, conçu pour les coureurs qui attaquent du talon (la majorité), permet un amorti plus confortable au moment où le pied entre en contact avec le sol. Cependant, si vous attaquez de l’avant-pied ou du médio-pied, le bénéfice risque d’être minime et pourrait même vous alourdir pour rien.
En ce qui concerne la durabilité, la mousse caoutchoutée n’est franchement pas idéale pour avaler les kilomètres. Ainsi, certains utilisateurs ont remarqué des traces d’usures après environ 250 km, ce qui est peu si l’on prend en compte le prix de la chaussure. Malheureusement, c’est souvent le cas avec les chaussures de compétition avec lame en carbone.
En résumé, la Hoka Carbon X 2 reste fidèle au premier modèle avec un amorti ferme et dynamique qui se prête bien aux longues distances. Cependant, sa formule séduit sans impressionner et sa durabilité limite sa polyvalence. Fans d’Hoka, foncez ! Pour les autres, prenez le temps de comparer avec la concurrence pour choisir ce qui vous correspond le mieux.
POUR:
- Amorti confortable et dynamique
- Empeigne à la fois robuste et légère qui offre un maintien impeccable, notamment grâce à la nouvelle forme du talon
- Poids léger
- Bonne polyvalence pour aller vite et loin
CONTRE:
- Des doutes sur la durabilité de la semelle
- Modèle plus étroit qu'avant, ce qui pourrait gêner certains coureurs
La Brooks Hyperion Elite 2 est une très bonne chaussure de compétition avec lame en carbone qui offre confort et dynamisme.
★★★★★
Voir plus + 250,00 €
Le premier modèle à peine déballé, Brooks revient à l’assaut avec une deuxième version. Il faut dire que l’Hyperion Elite avait reçu un accueil mitigé, beaucoup lui reprochant un amorti ferme et ennuyeux. De plus, la durabilité n’était pas au rendez-vous, de l’aveu même de la marque qui annonçait une durée de vie de seulement 150 km (!). Brooks semble avoir corrigé le tir à ce niveau en renforçant la semelle avec plus de caoutchouc. Sans être franchement solide, les testeurs notent que ce nouveau modèle devrait pouvoir encaisser plus de kilomètres que le premier. L’amorti de son côté s’est adouci et offre un plus grand dynamisme. On retrouve une semelle épaisse de 37 mm sous le talon avec un drop de 8 mm. Brooks a remplacé la mousse DNA Zero par DNA Flash avec une texture encore plus compressée pour favoriser un retour d’énergie plus explosif lors de la course. Et, bien entendu, il y a également la lame en fibre de carbone qui a pour but de guider le coureur vers un effort plus efficace. Les coureurs ont trouvé le résultat convaincant. De plus, ils ont apprécié la configuration stable et large de la plateforme. Sans atteindre le niveau de dynamisme des modèles concurrents comme la Nike Alphafly ou la Saucony Endorphin Pro, la Brooks Hyperion Elite 2 n’a pas à rougir de la comparaison. En outre, le ressenti est souvent personnel et c’est une chaussure qui plaira donc aux athlètes n’ayant pas aimé ces autres modèles. Ensuite, l’empeigne est confortable et bien aérée tout en assurant un maintien précis du pied. De plus, elle est particulièrement accommodante pour les coureurs qui ont les pieds plus larges. Cependant, malgré ces qualités, quelques testeurs n'ont pas aimé certains détails. Par exemple, le talon est désormais équipée d’une couche d’épaisseur moyenne que certains coureurs ont trouvé irritante pour le tendon. De la même manière, la languette fine aurait tendance à bouger lors de la course, ce qui n’est pas pratique. En résumé, la Brooks Hyperion Elite 2 marque une amélioration nette par rapport au premier modèle. Son confort et son amorti dynamique en font une très bonne chaussure de running pour la compétition.
POUR:
- Amorti dynamique et stable
- Empeigne bien aérée et qui offre un maintien efficace
- Chaussure polyvalente
- Modèle très léger
CONTRE:
- Languette et couche au niveau du talon pas confortables selon certaines personnes
- Durabilité améliorée mais toujours insuffisante
- Dans l'ensemble, pas aussi impressionnante que son prix pourrait laisser penser
La Hoka Rocket X est une bonne chaussure de running avec lame en carbone qui propose une configuration pointue pour la compétition.
★★★★★
Voir plus + 160,00 €
La Rocket X est la nouvelle chaussure de running avec lame en carbone d'Hoka One One. Elle met en avant un design classique, simple et épuré conçu avec le marathon en ligne de mire. Comme nous allons le voir, c'est une chaussure pointue qui peut se révéler efficace mais pas forcément adaptée à tout le monde.
Tout d'abord, la Hoka Rocket X se rapproche plus d'une chaussure de compétition classique que d'un modèle équipé d’une lame en fibre de carbone. Celle-ci, semi-rigide, se fait discrète et offre un bon dynamisme sans l’effet “trampoline” d’autres chaussures carbone — beaucoup de testeurs comparent la Rocket X à la Saucony Endorphin Pro en termes de sensations de course tout en trouvant cette dernière plus “fluide” dans l’ensemble. La semelle épaisse en mousse CMEVA de 32 mm sous le talon et 27 mm sous l’avant-pied offre une configuration simple et efficace. L’amorti est décrit par les testeurs comme étant ferme et modérément dynamique. Pas grand chose à voir donc avec l’amorti doux et moelleux typique d'Hoka. Cependant, il semblerait que la fermeté de la plateforme et le drop faible (5 mm) limite la polyvalence de la chaussure. Selon les coureurs, il faut un bon rythme pour “activer” le mouvement de propulsion de la plaque en carbone. La Rocket X est équipée de la technologie Meta Rocker mais celle-ci n’est pas très efficace sur ce modèle. Pour tirer le meilleur parti de cette chaussure, il faut attaquer de l’avant-pied selon plusieurs testeurs. Hors la majorité des coureurs attaquent principalement du talon, ce qui réduit le public potentiel de la Rocket X.
Au niveau de l'empeigne, on trouve un mesh léger et bien ventilé qui assure un maintien du pied precis et relativement souple : la configuration idéale pour concilier confort et maintien impeccable du pied, notamment en compétition. De plus, le contrefort au niveau du talon est doux et ne monte pas trop haut pour ne pas irriter le tendon d’Achille. Notons également que la boîte à orteil est modérément spacieuse — elle ne devrait pas poser de souci aux coureurs qui ont les pieds larges.
Enfin, le caoutchouc de la semelle extérieure se révèle efficace malgré sa texture lisse en apparence. Les coureurs notent qu’il assure une bonne adhérence et résiste bien à l’usure.
En résumé, la Hoka Rocket X est une bonne chaussure de running de compétition avec lame en carbone mais son profil très spécifique qui favorise les coureurs attaquant de l'avant-pied ne lui permet pas de s'imposer face aux reines de la catégorie comme la Nike AlphaFly ou l'Adidas Adios Pro, en particulier sur les longues distances. Cependant, elle peut être une option intéressante si vous recherchez une chaussure de compétition simple avec lame en carbone pour les distances courtes ou moyennes.
Tout d'abord, la Hoka Rocket X se rapproche plus d'une chaussure de compétition classique que d'un modèle équipé d’une lame en fibre de carbone. Celle-ci, semi-rigide, se fait discrète et offre un bon dynamisme sans l’effet “trampoline” d’autres chaussures carbone — beaucoup de testeurs comparent la Rocket X à la Saucony Endorphin Pro en termes de sensations de course tout en trouvant cette dernière plus “fluide” dans l’ensemble. La semelle épaisse en mousse CMEVA de 32 mm sous le talon et 27 mm sous l’avant-pied offre une configuration simple et efficace. L’amorti est décrit par les testeurs comme étant ferme et modérément dynamique. Pas grand chose à voir donc avec l’amorti doux et moelleux typique d'Hoka. Cependant, il semblerait que la fermeté de la plateforme et le drop faible (5 mm) limite la polyvalence de la chaussure. Selon les coureurs, il faut un bon rythme pour “activer” le mouvement de propulsion de la plaque en carbone. La Rocket X est équipée de la technologie Meta Rocker mais celle-ci n’est pas très efficace sur ce modèle. Pour tirer le meilleur parti de cette chaussure, il faut attaquer de l’avant-pied selon plusieurs testeurs. Hors la majorité des coureurs attaquent principalement du talon, ce qui réduit le public potentiel de la Rocket X.
Au niveau de l'empeigne, on trouve un mesh léger et bien ventilé qui assure un maintien du pied precis et relativement souple : la configuration idéale pour concilier confort et maintien impeccable du pied, notamment en compétition. De plus, le contrefort au niveau du talon est doux et ne monte pas trop haut pour ne pas irriter le tendon d’Achille. Notons également que la boîte à orteil est modérément spacieuse — elle ne devrait pas poser de souci aux coureurs qui ont les pieds larges.
Enfin, le caoutchouc de la semelle extérieure se révèle efficace malgré sa texture lisse en apparence. Les coureurs notent qu’il assure une bonne adhérence et résiste bien à l’usure.
En résumé, la Hoka Rocket X est une bonne chaussure de running de compétition avec lame en carbone mais son profil très spécifique qui favorise les coureurs attaquant de l'avant-pied ne lui permet pas de s'imposer face aux reines de la catégorie comme la Nike AlphaFly ou l'Adidas Adios Pro, en particulier sur les longues distances. Cependant, elle peut être une option intéressante si vous recherchez une chaussure de compétition simple avec lame en carbone pour les distances courtes ou moyennes.
POUR:
- Amorti ferme et efficace malgré l'absence d'effet "trampoline"
- Empeigne bien conçue qui offre un maintien impeccable
- Lame en carbone discrète sous le pied
- Bonne stabilité pour une chaussure de compétition avec lame en carbone
- Chaussure solide dans l'ensemble
CONTRE:
- Amorti ferme qui manque de fluidité et de dynamisme pour une chaussure carbone
- Meta Rocker pas très efficace
- Manque de polyvalence (chaussure principalement recommandée pour une attaque avant-pied)